Salut les PULPies, c’est Trixie Pearl pour la rubrique PinUp Story.
Lasse de voir des panneaux utilisant l’image de Marilyn Monroe loin de ce qu’elle était, j’ai eu envie de faire un article. Mais comment parler de cette icône et des côtés obscurs de son histoire en un seul article sans faire d’impasse? Impossible. Ce n’est donc pas un mais quatre articles que je vous proposerai tous les vendredis jusqu’au 15 février 2019.
Dans cette série d’articles, c’est avant tout la fillette à l’enfance difficile, une jeune fille décidée ou « incitée » à sortir du milieu ouvrier dont il sera question. Je mettrai volontairement les strass et paillettes du show-business de côté, car c’est la vision « enrubannee » que nous connaissons toutes et tous.
Ce qui me semble intéressant c’est cette face cachée de Marilyn, une prisonnière d’Hollywood, qui vécue seule toute sa vie, influencée et influençable, se retrouvant impliquée dans une mouvance politique par ses « amitiés » (le clan Kennedy, Castro, l’église satanique), le tout sous forme d’embroglio d’intérêts entre les magnats de l’industrie cinématographique et le pouvoir.
Elle a eu beaucoup de biographes, je n’ai pas la prétention d’en être une de plus, les recherches m’ont fait accéder à des infos que je suspectais cela a été l’occasion de m’y attarder.
Exemple, officiellement, Marilyn n’a jamais été maman, on lui connaît quelques fausses couches. Or, Marylin malgré son caractère faible et influençable n’était pas idiote. Bourrée d’anxiolytiques puis plus tard du cocktail explosif barbituriques/alcool, elle a elle-même déclaré dans les innombrables enregistrements de ses séances avec son psy « je n’étais pas moi-même je ne pouvais pas réagir, mais je sais ils m’ont volé mes bébés ».
Aujourd’hui avant d’aborder le côté obscur, voici un petit retour rapide sur sa carrière dans le 7ème art et ses relations chaotiques….
Née le 1er juin 1926 à Los Angeles, Marilyn Monroe, de son véritable nom Norma Jeane Baker, est l’icône du cinéma américain.
Elle tourne dans des films de légende tels que « Les hommes préfèrent les blondes » (1953), « Sept ans de réflexion » (1955) ou encore « Certains l’aiment chaud » (1959). Mais la carrière de l’actrice est indissociable de ses relations amoureuses qu’elle entretient avec ses partenaires ou des personnalités.
En 1954, Marilyn Monroe épouse le joueur de baseball Joe DiMaggio dont elle se sépare quelques mois après. Deux ans plus tard, l’actrice se marie avec l’auteur Arthur Miller. Mais après une relation extraconjugale avec Yves Montand (dont elle sera enceinte), elle divorce d’Arthur Miller en 1961. Marilyn Monroe sombre alors dans une profonde dépression dont elle ne se remettra jamais totalement.
La rumeur lui prête également une relation avec le chanteur Frank Sinatra ainsi qu’avec le président John Fitzgerald Kennedy pour lequel elle chante le célèbre célèbre « Happy Birthday Mister President ».
Le 5 août 1962, l’actrice est retrouvée morte dans sa chambre. Les origines de son décès sont encore floues à ce jour. Dans les trois articles à suivre vous en découvrirez plus sur l’envers du décor.
Photo de couverture Hans Knopf
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